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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2261889

ABSTRACT

Introduction: Many patients suffer from persistent and prolonged effects after acute COVID-19. The aim of our study is to describe the prevalence of Long COVID in survivors after discharge and to determine the relation between the severity of acute COVID-19 infection and Long COVID. Method(s): Retrospective study of hospitalized patients with COVID-19 in pneumology department II of Abderahman Mami hospital. We compared 2 groups: a moderate COVID-19 group (G1) and a severe COVID-19 group (G2). We compared persistent symptoms, Chest CT and pulmonary function tests assessments at 3 months after discharge in the two groups. Result(s): A total of 150 patients were initially admitted. Median age was 64 years. Patients in G2 were older and had more comorbidities than those in the moderate group. The main comorbidities were hypertension (38.6%) and diabetes (33.3%). Common symptoms of acute COVID 19 revealed were: breathlessness (86%), cough (68%) and fatigue (63%). Ninety patients were followed up for a mean of 3 months. The Prevalence of Long COVID was 54.4% (n=49). G2 had a higher Prevalence compared to G1: 35.7%G1 (n=15) vs 70.8%G2 (n=34), p=0.001. The most frequent persistent symptoms revealed were: breathlessness (27.2% G1 vs 67.5% 2, p=0.001) fatigue (21.2% G1 s 42.5%, p=0.05) and cough (12.1% G1 vs 18.4% G2, p=0.205). Pulmonary diffusion impairment was the most common pulmonary dysfunction (45% G1 vs 69.2% G2 p=0.19). Abnormal CT findings are predominately found in patients of G2. Lung fibrotic-like changes were observed in 25% of the patients in G2 vs 14.2% in G1 within 3 months. Conclusion(s): A spectrum of sequelae has been reported among COVID-19 survivors. Patients with high-risk of postacute COVID-19 should be identified.

3.
European Respiratory Journal ; 58:2, 2021.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1704026
4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):112, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586691

ABSTRACT

Introduction Le syndrome de Covid long est défini par des symptômes qui persistent pendant plus de 4 semaines après une infection Covid, quel que soit sa gravité, et qui ne peuvent pas être expliqués par une autre cause. L’objectif de notre étude était d’étudier la prévalence de ce syndrome et de décrire les symptômes persistants. Méthodes Il s’agit d’une étude prospective descriptive ayant inclus les patients hospitalisés en octobre jusqu’à décembre 2020 au service de pneumologie du pavillon 2 de l’hôpital Abderahmen Mami. L’évaluation des symptômes persistants a été faite à 3 mois. Les données ont été obtenues lors du suivi des patients à l’aide d’un questionnaire standardisé. Résultats Cent cinquante patients ont été inclus. Le sex-ratio était égal à 1,5. L’âge moyen était de 63 ans [19–88 ans]. La durée moyenne d’hospitalisation était de 10,5±7,2jours. Cinquante-quatre patients (36 %) étaient tabagiques. L’IMC moyen était de 29,3±5,9. C’étaient des formes cliniques modérée à sévère nécessitant une hospitalisation avec une atteinte scanographique jugée modérée à sévère (>10 %) chez 114 patients (76 %). Tous les patients ont été mis sous oxygénothérapie, vitaminothérapie et anti-coagulation. Le transfert en réanimation a été indiqué dans 28 cas (18,6 %). Cent dix patients ont été régulièrement suivis à la consultation (73,3 %). Trente-huit patients (34,5 %) ont gardé une symptomatologie persistante à 3 mois : une fatigue ou une asthénie persistante dans 19 % des cas (21cas), des arthralgies dans 11,8 % des cas (13 cas), une dyspnée stade 1 mMRC dans 14,5 % des cas (16 cas), une dyspnée stade 2 mMRC dans 5,4 % (6 cas), une toux sèche dans 8,1 % des cas (9 cas) et 1 seul cas de sécheresse buccale persistante. Conclusion Le fardeau du COVID long est considérable et les effets persistants de cette maladie se répercuteront chez certains patients pendant plusieurs mois. Plusieurs études sont nécessaires afin de comprendre la physiopathologie de ce syndrome et de définir ses facteurs de risques.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):140, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586635

ABSTRACT

Introduction Il n’y a aucune preuve sur le rôle de la prise antérieure des corticostéroïdes inhalés (CSI) dans l’évolution de la COVID-19. Notre objectif était d’évaluer l’influence des CSI dans le pronostic de la COVID-19. Méthodes Une étude rétrospective étalée sur 4 mois, incluant les dossiers de patients hospitalisés dans notre service pour infection COVID-19. Nous avons divisé notre population en 2 groupes G1 : patients ayant une maladie respiratoire chronique sous CSI et G2 : patients n’ayant pas reçu de CSI. Résultats Au total, 100 patients étaient inclus dans notre étude. Quatorze pour cent des patients étaient sous CSI. Le sex-ratio dans le G1 était de 0,4 versus 1,8 dans le G2. L’âge moyen était de 57 ans dans le G1 contre 62,17 ans dans le G2. La moyenne de la saturation initiale en oxygène dans le G1 était de 84,92 % contre 85,62 % dans le G2. La moyenne du degré d’atteinte radiologique dans le G1 était de 50 % contre 44,4 % chez le G2. Il n’y avait pas de corrélation entre la prise de CSI et le degré d’atteinte radiologique (p=0,437) et la saturation initiale en oxygène (IOS) (p=0,738). Conclusion Dans notre étude, nous n’avons pas trouvé d’influence des CSI sur le pronostic de la COVID-19.

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